Développez vos projets professionnels avec les DU/DIU de l’Université de Strasbourg !

Découvrez les Diplômes Universitaires et Diplômes Inter-Universitaires (DU/DIU) de l’Université de Strasbourg, votre passerelle vers l’excellence dans le domaine de la santé. Avec une reconnaissance académique et une supervision par des experts, ces formations offrent bien plus qu’une simple attestation de réussite. Donnez un nouvel élan à votre carrière en acquérant des compétences de pointe auprès de professionnels renommés.

Vous souhaitez donner un nouvel élan à votre carrière en acquérant des compétences auprès de professionnels experts dans le domaine de la santé ? Les Diplômes Universitaires et Diplôme Inter-Universitaires (DU/DIU) proposés par les universités françaises, dont l’Université de Strasbourg, représentent une solution idéale pour concrétiser vos aspirations.

Obtenez bien plus qu’une simple attestation de réussite : les DU/DIU sont supervisés par des enseignants-chercheurs et vous décernent un diplôme reconnu.

Vous souhaitez vous lancer ? Voici quelques conseils !

  1. Choisissez votre formation en fonction de vos objectifs : consulter l’offre disponible sur le site sfc.unistra.fr. Vous y découvrirez le programme, les modalités d’organisation et d’évaluation.
  2. Prévoyez votre mode de financement : FIF-PL, OPCO, financement individuel
  3. Déposez votre candidature au format dématérialisé sur la plateforme e-candidat ou via un dossier retiré auprès de l’université : Attention, les dates précises des périodes de candidature et les modalités sont indiquées sur la fiche programme du diplôme.
  4. Préparez votre rentrée : une fois votre admission confirmée, organisez votre absence professionnelle

Enfin, chaque université propose une variété de formations avec des exigences spécifiques. Prenez le temps de comparer les programmes pour trouver celui qui correspond le mieux à vos besoins et à votre emploi du temps. Ne vous inquiétez pas, un DU ou DIU ne nécessite pas toujours la rédaction d’un mémoire. Chaque diplôme a sa propre méthode d’évaluation, détaillée dans les fiches programmes. Alors êtes-vous prêts à vous lancer dans un DU ou un DIU ?

Un dernier conseil : un DU ou DIU demande un engagement personnel important, mais les bénéfices qui en découlent en valent la peine !

Karen Wendling
Chargée de développement dans le domaine de la santé
k.wendling@unsitra.fr
03 68 85 49 73

Vous avez eu un rêve, vous l’avez chouchouté, fait grandir, demandé un accompagnement pour passer du rêve au projet concret et vous voilà sur la dernière ligne droite :  celle du financement de votre projet de formation. Et c’est à ce moment précis que vous vous demandez si vous devez vous transformer en Sherlock Holmes pour trouver LA solution de financement. Et bien non, vous pouvez rester vous-même, nous avons levé pour vous ce mystère.

Première clé du mystère : les financements sont nombreux et éventuellement cumulables

La formation continue peut être financée de multiples façons. En fonction de votre situation, plusieurs solutions s’offrent à vous :

  • Vous êtes salarié, membre d’une profession libérale ou d’une profession non salariée, conjoint collaborateur, travailleur indépendant, intérimaire ou à la recherche d’un emploi, voici les financements possibles :
  • Vous êtes agent public dans la fonction public d’état, territoriale ou hospitalière, vous bénéficiez d’un compte personnel de formation (CPF) avec un crédit d’heures que vous pouvez mobiliser dans certains cas. Vous pouvez également bénéficier d’un congé de formation professionnelle (CFP) ou du plan de formation de votre administration.

Deuxième clé du mystère : rien ne vaut un accompagnement

Si vous relevez du secteur privé ou si vous êtes demandeur d’emploi, vous pouvez faire appel à un conseiller en évolution professionnelle (CEP). Il vous accompagnera gratuitement et de façon personnalisée afin de faire un point sur votre situation professionnelle. Il vous aidera, s’il y a lieu, à établir un projet d’évolution professionnelle (reconversion, reprise ou création d’activité…). Vous pouvez trouver leurs coordonnées en vous connectant à votre compte personnel de formation ou sur https://mon-cep.org/ 
Pour les agents publics, votre interlocuteur privilégié est votre administration : DRH, Bureau Formation, Bureau des carrières…

Vous pouvez également contacter le Service formation continue de l’Université de Strasbourg qui dispose de conseillers dédiés. Ils pourront vous accompagner dans la définition de votre projet de formation et dans les financements possibles. Les dispositifs de financement sont nombreux et, pour certains, cumulables. Le meilleur conseil à vous donner pour vous y retrouver, c’est de ne pas rester seul. Entourez-vous et venez nous parler de votre projet.

Troisième clé du mystère : restez positif

Et dernier conseil : restez positif tout au long de la démarche. Si votre projet vous semble impossible, posez-nous la question. Qui sait si on ne trouvera pas ensemble la solution !

De bac+2 à bac+5 et quel que soit le domaine de formation, l’alternance est possible à l’université ! Avec près de 100 formations accessibles en contrat de professionnalisation, notre objectif à l’Université de Strasbourg est le suivant : former les talents d’aujourd’hui et de demain pour répondre aux besoins des entreprises et du monde socio-économique.

Un véritable tremplin vers l’emploi

Le contrat de professionnalisation est un contrat de travail (CDD ou CDI) qui vise à favoriser l’insertion ou la réinsertion professionnelle par l’acquisition d’une qualification reconnue.

Alliant théorie et pratique, il repose sur la pédagogie de l’alternance.

Ouvert aux jeunes de 16 à 25 ans révolus, aux demandeurs d’emploi de 26 ans et plus ainsi qu’aux personnes en reconversion professionnelle, le contrat de professionnalisation permet de bénéficier d’un enseignement théorique complété par une mise en pratique professionnelle au sein d’une entreprise.

Avec une durée de formation variant de 6 à 12 mois pouvant être prolongée jusqu’à 36 mois, ce contrat de travail facilite l’accès à l’emploi par l’acquisition d’une qualification mais également d’une expérience professionnelle. L’alternant peut aussi, s’il le souhaite, réaliser ses périodes de pratique dans plusieurs entreprises. Ce rythme permet ainsi à chaque alternant de mettre en pratique les connaissances acquises au cours des enseignements théoriques.

Le contrat de professionnalisation a fait ses preuves en permettant à de nombreuses personnes de se former très concrètement à un métier et d’entrer ou de revenir dans la vie active. En 2021, à l’Université de Strasbourg, le taux d’insertion professionnelle s’élevait à 96% pour les contrats en alternance.

Une opportunité pour les employeurs

Pour l’entreprise, c’est l’opportunité d’insuffler une certaine dynamique par le biais d’un nouveau regard s’appuyant sur des acquis universitaires. Le contrat de professionnalisation permet de former l’alternant aux méthodes de travail, à la culture de l’entreprise et de disposer d’un collaborateur rapidement opérationnel tout en participant pleinement au développement de ses compétences.

Les conditions financières avantageuses du contrat de professionnalisation (réduction générale des cotisations patronales, déduction fiscale de la taxe d’apprentissage, exonération des cotisations salariales…) peuvent, elles aussi, séduire les entreprises.

Il est à noter que les opérateurs de compétences prennent en charge les contrats de professionnalisation au niveau fixé par les branches, ou à défaut, par décret.

Une offre de formation adaptée

Industrie, sport, droit, marketing… au Service formation continue, à chaque profil correspond une formation adaptée.

Avec une centaine de diplômes accessibles en contrat de professionnalisation, notre objectif est d’accompagner les talents d’aujourd’hui et de demain en leur donnant les clés d’une insertion réussie sur le marché de l’emploi.

Au service de l’emploi et des compétences, le Service formation continue est à vos côtés pour concrétiser votre projet.

Si la crise d’adolescence n’est pas une fatalité, ce peut être un passage difficile au sein des familles. Lorsque les conflits sont quasi-quotidiens entre les parents et leur ado, ils ont une incidence forte sur la qualité de vie au sein de la famille et peuvent conduire ou traduire une symptomatologie anxio-dépressive.

Depuis plusieurs années lors des formations que je dispense sur le programme Barkley (à destination des parents d’enfants opposants-défiants), on m’interroge sur les difficultés à répondre aux familles dont les pré-adolescents ou adolescents présentent des troubles du comportement, de l’opposition-provocation, voire de la tyrannie intrafamiliale.

Aussi, en lien avec ma pratique clinique et mon activité de recherche je poursuis le développement d’une intervention spécifiquement destinée à l’accompagnement des familles d’adolescents où les conflits sont fréquents, où les adolescents sont opposants, qu’ils aient ou non un Trouble Déficit de l’Attention/Hyperactivité. Cette intervention introduit la dimension de la quête identitaire chez l’adolescents, mais aussi le mode de pensée adolescent pour comprendre certains conflits typiques de cette période.

Webinaire – échanges

Je vous convie donc à un webinaire afin d’échanger autour de ces questions.

Comment se crée le cercle vicieux des comportements difficiles ? Comment y faire face ? Pourquoi le Barkley version enfant ou version ado ne sont pas forcément les plus adaptés pour outiller les parents dans le contexte de l’adolescence? Comment articuler l’objectif de la diminution des comportements-problèmes, à la communication et à la résolution de problèmes en famille ?

Ce sera également l’occasion de vous présenter brièvement la formation que je proposerai au sein du SFC prochainement sur cette nouvelle intervention spécifique.

Céline Clément, Professeure en psychologie et sciences de l’éducation à l’Université de Strasbourg.

Pilules, gélules, cachets, comprimés colorés en tas.

Depuis près de deux siècles, les progrès thérapeutiques sont indissociables des avancées dans le domaine pharmaceutique. Ces avancées ont permis de traiter des maladies auparavant incurables et ont amélioré l’efficacité, la simplicité d’utilisation et la sécurité des médicaments. L’innovation dans ce domaine est le fruit de recherches continues, apportant des bénéfices considérables aux patients. Dans cette optique, le Master 2 Développement pharmaceutique : de la molécule au médicament (DPMM), proposé par la Faculté de Pharmacie et le Service Formation Continue de l’Université de Strasbourg, répond aux besoins de professionnalisation des acteurs du secteur pharmaceutique. Notre objectif est de former des experts du développement pharmaceutique, capables de maîtriser toutes les phases du processus, de la recherche initiale à la mise sur le marché.

Une formation portant sur toutes les étapes du développement pharmaceutique

Notre programme vise à favoriser les transversalités entre les différentes disciplines pharmaceutiques et à ouvrir des passerelles vers d’autres domaines de recherche. À la fin de cette formation, les participants seront capables d’évaluer la faisabilité de projets de recherche et développement, de coordonner leur mise en œuvre et de comprendre tous les aspects du développement d’un nouveau médicament. Ils maîtriseront également des connaissances fondamentales en pharmacologie, pharmacocinétique et immunologie.

Une formation complète, personnalisée et adaptée aux besoins du marché.

Le parcours de Master 2 DPMM, proposé exclusivement en formation continue, offre une flexibilité optimale via la prise en compte des acquis d’expériences de chaque candidat. Il permet le renforcement et la mise à jour des compétences des professionnels des sciences pharmaceutiques et des personnes en reconversion professionnelle.  En outre, notre programme est conçu pour délivrer un diplôme inscrit au RNCP, répondant aux besoins exprimés par l’industrie pharmaceutique en matière de recherche, de R&D de nouveaux médicaments et de management de la qualité. Notre formation offre des opportunités dans un secteur en constante évolution où les perspectives de recrutements restent soutenues.

Vincent Gies, Pharmacien, Docteur en Immunologie à l’Université de Strasbourg

Portrait plan buste de Didier Breton

Première et unique formation en démographie exclusivement dédiée à la formation continue, le Master 2 Politiques publiques et populations vise à former des spécialistes des liens entre population et politiques publiques, que cela soit dans leur mise en place, leur suivi ou leur évaluation. C’est aussi l’opportunité de développer une expertise propre dans le pilotage de domaines aussi variés que la politique publique, la santé, le vieillissement, l’éducation et la formation, l’insertion professionnelle, le social, la culture, l’urbanisme, la famille, les transports ou encore l’aménagement des territoires. Ce Master a été imaginé et conçu par l’équipe de l’Institut de démographie de l’Université de Strasbourg (IDUS), fort de ses plus de 30 ans d’expérience dans la formation initiale professionnalisante des démographes et son réseau de diplômé.e.s. Le Master 2 « politiques publiques et populations » bénéficie du label de l’Ecole des Hautes Etudes en Démographie (HED). 

Une formation alliant présentiel et distanciel

Le master se déroule sur une année, de février à décembre avec une soutenance du mémoire de recherche début d’année qui suit. Deux semaines sont organisées en présentiel, notamment pour les cours plus techniques, mais aussi pour la cohésion de la promotion. Pour le reste, chaque mois des modules en distanciel sont ouverts. Ils se composent de modules d’E-learning, de ressources pédagogiques en ligne, de séances en visioconférences et d’études de cas en fonction du contexte professionnel permettant d’acquérir de nouveaux savoirs tout au long du processus d’apprentissage. 

Une équipe pédagogique experte et à l’écoute

L’équipe pédagogique du master est composée d’universitaires et de professionnels reconnus pour leur expertise dans chacune des matières enseignées et très impliqués dans la formation. Les stagiaires sont accompagné.e.s et suivi.e.s individuellement ou en petit groupe tout au long de l’année, notamment pour la réalisation du mémoire en lien avec leur projet professionnel.

Une formation au cœur des nouvelles méthodes et approches

Les compétences développées durant le master combinent à la fois apprentissages théoriques et pratiques. Les stagiaires seront formé.e.s au traitement des données, à leur visualisation et leur valorisation en utilisant des outils spécifiques et reconnus dans le monde professionnel (R, Excel, QGis,…) . Le mémoire, véritable fil rouge de la formation, est l’occasion de développer des compétences transverses dans le domaine des politiques publiques. 

Différents débouchés à l’issue du Master

Les diplômé.e.s du master pourront selon leurs envies, leur parcours et leur projet professionnel viser des emplois de chargé d’études ou de mission en population spécialisé dans le domaine des politiques publiques ou poursuivre en doctorat en développant un projet de recherche spécifique. 

Didier BRETON, Professeur de Démographie, Faculté des sciences sociales, Université de Strasbourg

Découvrez notre offre de formation portant sur la thématique de la douleur : la comprendre, la prendre en charge, accompagner le patient…

Notre offre de formation se décline en DU et stages courts pour répondre au mieux aux besoins de chaque professionnel de santé.

Les diplômes d’Université

Diplôme interuniversitaire de soins palliatifs et d’accompagnement

Les points forts : 

  • Transmettre les fondamentaux.
  • Interroger les pratiques et les accompagnements en situation palliative.
  • Croiser les regards quant à la démarche palliative,  à ses représentations.
  • Initier à l’interrelation subjective, à la réflexion inter professionnelle.      

Démarrage en septembre

Diplôme d’Université Techniques de sophrologie

Les points forts : 

Ce D.U. entre dans une démarche qualité, condition pour garantir une utilisation de la méthode excluant les dérives de tous ordres. (CUMIC https://www.cumic.fr).

Ce D.U. apporte des réponses aussi bien aux soignants qu’aux soignés. En effet, appliquées aux soignés les techniques de sophrologie permettent une meilleure prise en charge, appliquées aux soignant, elle préviennent les risques d’épuisement.

Les techniques transmises sont simples, sans risque et immédiatement applicables. Elle permettent  un mieux-être pour le soignant en même temps qu’une meilleure prise en charge du soin.

Ce double bénéfice constitue une réelle innovation dans le domaine du soin.

Démarrage en septembre

Diplôme interuniversitaire d’acupuncture obstétricale

Ce diplôme a pour objet la formation des sages-femmes et des gynécologues à la pratique de l’acupuncture dans le cadre obstétrical exclusif.

Les points forts : 

  • Existence de ce diplôme d’acupuncture en obstétrique depuis plus de 30 ans. 
  • Intervenants médecins et sages-femmes ayant une longue pratique hospitalière.

Démarrage en octobre

Diplôme d’Université de Médecine Méditation et Neurosciences

Points forts de la formation :

  • Conditions de réalisation en immersion résidentielle
  • Pédagogies expérientielle et participative
  • Caractère innovant
  • Multi disciplinarité des enseignements
  • Diversité des métiers de la santé chez les participants permettant la fertilisation croisée.

Démarrage en décembre

Diplôme interuniversitaire de formation des professionnels de santé à la prise en charge de la douleur

Les points forts : 

  • Les stages dans un Centre d’Evaluation et de Traitement de la Douleur et dans une unité de soins palliatifs.
  • Acquisition des savoirs et des compétences permettant de comprendre et prendre en charge le patient douloureux dans tous les secteurs confondus.           

Démarrage en novembre

Diplôme d’Université Hypnose et prise en charge de la douleur

Points forts de la formation :

  • Entrainement à l’observation clinique selon différents points de vue (spatiaux et aussi intellectuels) simultanément.
  • Enseigner la connaissance des champs sémantiques et lexicaux pour développer la personnalisation des suggestions et son adaptabilité singulière au patient.
  • Enseigner la capacité à établir un diagnostic analogique, spécifique d’une approche clinique et thérapeutique de nature hypnotique.
  • Enseignements ciblés sur la prise en charge personnalisée des douleurs dont l’entrainement des patients à l’auto-hypnose dans le cadre de l’éducation thérapeutique.
  • Cours dispensés permettant de préparer, commencer et conduire un traitement avec l’hypnose dans la lutte contre la douleur aiguë et/ou chronique dans ses dimensions physiques et psychologiques.

Démarrage en janvier

Les formations courtes

Capsule courte 3,5 heures

Découvrez les notions de bases pour la prise en charge de la douleur.

  • Entrée permanente

Savoir préparer, commencer et conduire un traitement avec l’hypnose dans la lutte contre la douleur.

  • Chaque année en mars

Adressée quotidiennement aux personnels des établissements gériatriques, la plainte douloureuse est parfois sous-estimée, parfois elle entraîne des désaccords dans les équipes. 

  • Chaque année en mars

Savoir conduire un traitement de la douleur chronique par l’hypnose.

  • Chaque année en avril

Formation réservée aux médecins, IDE, AS et tout autre professionnel, exerçant autant dans les domaines sanitaire, médicosocial ou du handicap et confronté à des situations de fin de vie particulièrement complexes et devant faire face à des demandes d’euthanasie ou de suicide assisté.

  • Chaque année en avril

3 jours pour apprendre à créer des contes adaptés aux patients dans le cadre de séances d’hypnose à visée antalgique tant sur le plan physique que psychologique.

  • Chaque année en mai

Apprenez à utiliser la sophrologie comme outil de gestion de la douleur chronique et aiguë.

  • Chaque année en juin

Accès réservé aux spécialistes en gynécologie : sages-femmes, internes et gynécologues obstétriciens.

  • Chaque année en septembre

3 jours de formation pour disposer de repères pour l’évaluation de la douleur et des symptômes les plus fréquents.

  • Chaque année en octobre

3 jours réservés aux métiers des soins infirmiers et de rééducation, médecins, psychologues.

  • Dates nous consulter

L’Université de Strasbourg propose une gamme complète de formations en chirurgie au sein du Service de formation continue (SFC). Ces programmes ont été méticuleusement conçus pour s’adapter aux besoins changeants des professionnels de la santé, offrant ainsi des opportunités d’apprentissage et de perfectionnement tout au long de leur carrière.

Des stages à courte durée pour répondre aux défis des professionnels de santé

La prise en compte des défis quotidiens rencontrés par les professionnels de la santé constitue le cœur même des programmes de stages courts développés par l’Université de Strasbourg. Ces formations sont spécifiquement conçues pour s’adapter à la réalité complexe de la vie professionnelle des acteurs de la santé, offrant ainsi des solutions flexibles et ciblées. Ces programmes, dont les contenus peuvent être ajustés en fonction des besoins des participants, servent de passerelles vers une expertise constamment actualisée. Ainsi, ils fournissent aux participants les outils essentiels pour exceller dans un domaine médical en perpétuelle évolution.

Des formations adaptées aux évolutions actuelles

Les formations du SFC sont spécifiquement conçues pour refléter les tendances actuelles, mettant l’accent sur la maîtrise des équipements, l’interprétation des données innovantes et la compréhension approfondie des procédures assistées par la technologie. Ces formations visent non seulement à enseigner l’utilisation des outils, mais également à développer une compréhension critique de leur intégration dans la pratique quotidienne.

Interventions : des experts dans le domaine
Au sein de l’Université de Strasbourg, les enseignants chercheurs s’engagent envers l’excellence dans la formation chirurgicale. Leur expertise et expérience dans ce domaine leur permet de développer des programmes de formation de qualité répondant aux besoins des professionnels de la santé. Travaillant quotidiennement dans le milieu universitaire et hospitalier, ces professionnels issus de diverses spécialités chirurgicales, apportent des compétences pointues. Le partage d’expériences pratiques, d’études de cas, et la compréhension des défis contemporains en chirurgie enrichissent considérablement l’expérience des participants. Ainsi, l’approche pédagogique dépasse la simple théorie, offrant aux participants une vision plus complète et pratique de la chirurgie moderne.

Coup d’œil sur les stages de courte durée dans le domaine :

Le plan de développement des compétences est l’exercice annuel par excellence. Identifier les compétences clés dont votre entreprise a besoin pour se développer et / ou se pérenniser, identifier les collaborateurs à former, établir un budget, sélectionner les prestataires internes ou externes, autant d’étapes que les Ressources humaines connaissent bien et maîtrisent. Mais savez-vous que ce plan recèle un trésor que peu de personnes connaissent et qui pourtant est inestimable ?

Les évidences du plan de développement des compétences

Nous pourrions vous parler de l’importance de développer les compétences dans ce monde en pleine mutation, mais à moins de vivre très loin de toute civilisation, vous le savez déjà. Bien sûr qu’il faut suivre du mieux et aussi vite que l’on peut l’avancée des nouvelles technologies. Nous sommes dans une course de vitesse que l’on craint de perdre chaque année : comment ferons-nous si nos salariés ne sont pas formés aux évolutions à venir ? Et question encore plus vertigineuse : comment être certain de ne pas se tromper de formations ?

A cela rien d’évident et tout le monde fait au mieux. Vous pouvez identifier aisément quelques secteurs à développer et en laisser d’autres pour l’année prochaine. Mais en faisant cela, vous passez à côté de la véritable clé de toute réussite.

La véritable clé de toute réussite n’est pas la formation en elle-même

Se former, être à la pointe, est certes important. Mais ce n’est que le résultat d’une capacité incontournable que nous devrions tous avoir : celle d’apprendre. Or, comment se développer, puis avoir suffisamment confiance en soi pour utiliser ses nouvelles compétences si nous perdons l’habitude d’apprendre ? Se remettre en question, se rendre compte que l’on est capable de faire différemment, d’analyser différemment, de comprendre le monde différemment, voire même d’innover n’est possible que si nous gardons cette habilité cognitive qu’est l’apprentissage.

Former pour former ne sert à rien ? Détrompez-vous. C’est la pierre angulaire de toute société qui se développe mais surtout qui est agile et sait se transformer face aux imprévus. Rappelez-vous la crise du Covid -19 et les difficultés qu’ont pu avoir certaines entreprises à basculer en mode télétravail. Les plus agiles d’entre elles avaient toutes un point commun : des salariés habitués à apprendre et qui, de ce fait, ont gardé une agilité leur permettant de rebondir rapidement et efficacement face aux aléas de la vie.

L’agilité, voilà le véritable trésor et la véritable opportunité du plan de développement des compétences

Miser sur l’agilité de ses salariés est un pari toujours gagnant. Il vous faut certes former aux technologies et aux savoirs dont vous avez besoin, mais également valoriser vos collaborateurs, les fidéliser et les maintenir agiles. Lors de votre réflexion sur le plan de développement des compétences, posez-vous ces questions essentielles : y a-t-il des collaborateurs que nous n’avons pas formés depuis longtemps ? Y a-t-il des collaborateurs que nous pourrions fidéliser et/ou récompenser en leur proposant de suivre une formation diplômante ? Et vous remarquerez que la réponse à ces questions est oui.

Alors prenez-les en compte et incluez dans votre plan de développement des compétences des actions de formation continue qui permettent de maintenir cette capacité à apprendre de vos salariés.

Nous sommes là pour vous accompagner dans votre réflexion et vous permettre d’avoir accès aux meilleures formations diplômantes ou non diplômantes. Saisissez-vous de ce trésor et parlons-en ensemble.

Pour accompagner vos salariés dans le choix de leur formation n’hésitez pas à  prendre rendez-vous avec nos experts du pôle Conseil et Accompagnement : https://sfc.unistra.fr/prendre-rdv-avec-un-conseiller/

Françoise Boutigny, Responsable sécurisation des parcours au Service formation continue

Nous passons en moyenne 80 à 90 % dans des environnements intérieurs : domestiques, professionnels ou autres. Les polluants rencontrés sont multiples et les pathologies associées nombreuses.

La mise au point de méthodes de mesure des allergènes domestiques a permis de mieux quantifier les polluants, de faire le lien avec les symptômes d’allergie et d’apprécier l’effet des méthodes d’éviction des polluants.

Pour réaliser de façon la plus globale cette réduction de l’exposition allergénique, il est rapidement apparu que les médecins spécialistes et généralistes n’avaient ni le temps ni la formation pour proposer des conseils d’éviction orientés. Brandt a montré lors d’une étude effectuée auprès des allergologues américains la nécessité d’une visite à domicile (1) pour avoir une vue précise de l’environnement des patients. Pour cela, il faut un audit de qualité de l’environnement intérieur et proposer des conseils d’éviction en fonction des niveaux d’exposition mesurés et des habitudes culturelles du patient.

Une nouvelle activité professionnelle

C’est pourquoi, nous avons créée en 1991 à Strasbourg une nouvelle activité professionnelle, les Conseillers Médicaux en Environnement Intérieur (C.M.E.I.). Grâce à une étude prospective, randomisée, multicentrique, réalisée de 1999 à 2000, comprenant 378 patients, l’intérêt des C.M.E.I. a été démontré sur l’observance des patients aux mesures d’éviction et sur les taux d’allergènes d’acariens (2)

La validation clinique des CMEI a été obtenue par le travail de l’équipe de Morgan (3).Il a également été montré dans ce travail qu’il existait une corrélation entre l’amélioration clinique et la réduction de l’exposition allergénique. Une autre publication de Krieger et collaborateurs (4) a conforté l’idée de l’éviction la plus globale possible. En effet, dans ce travail, ils ont comparé l’intérêt de n’envisager des mesures d’éviction que pour un allergène par rapport à une éviction la plus globale possible de tous les allergènes auxquels le patient est sensibilisé en y associant aussi les moisissures et le tabagisme.

Les C.M.E.I. sont des professionnels qui peuvent intervenir sur demande des médecins pour des pathologies en lien avec des polluants domestiques : les acariens, les allergènes d’animaux, les moisissures, les blattes et les polluants chimiques tels que : les composés organiques volatils (COV), le formaldéhyde, le dioxyde d’azote (NO2).

Les C.M.E.I. font un audit de la qualité de l’air intérieur à l’aide d’un questionnaire standardisé et mesurent les polluants incriminés lors du diagnostic médical. Cette visite à domicile est gratuite lorsque le CMEI est rattaché à une structure publique (ex : Hôpitaux, ARS, Service d’hygiène des Villes, Mutuelle ou prestataire de service pour l’oxygène…) ou peut être payante lorsque l’activité s’exerce de manière libérale.

Ces conseils permettent aux patients de modifier leur environnement (ex : housse anti-acariens pour les matelas, sommier à lattes, revêtement de sol lavable, choix des peintures, des produits d’entretien …) ou parfois des changements dans les habitudes de vie (ex : fréquence d’aération, suppression des parfums d’intérieur…). Le partenariat avec d’autres professionnels (ex : ARS service environnement et santé, services communaux d’hygiène et de santé des villes, Atmo-Grand Est, ADIL, CAUE, Centre Anti-Poison …) est souvent nécessaire.

Une formation adaptée pour exercer cette activité

En ce qui concerne la formation, : actuellement, 227 C.M.E.I. ont obtenu le Diplôme Inter-Universitaire de santé respiratoire et habitat (avec les Universités de Brest, Montpellier, Paris, Toulouse, Strasbourg). Depuis 2007, une licence professionnelle des métiers de santé et de l’environnement a été crée. Par ailleurs, la création et le développement des conseillers médicaux en environnement intérieur ont été inscrits dans les différents Plan National de Santé Environnement (PNSE 1 à PNSE 3).

De même, dans les recommandations pour le diagnostic, la prise en charge et le traitement de l’asthme du nourrisson de moins de 36 mois en 2008, il a été recommandé de faire appel aux conseillers en environnement. Par ailleurs aux Etats-Unis, l’équivalent des CMEI sont considérées comme coût- efficace et leur développement est recommandé par l’EPA (Environnement Protection Agency) et le CDC (Center of Disease Control and Prevention).

Une étude multicentrique française : ECENVIR (Évaluation clinique et étude d’impact économique de l’intervention de Conseillers en Environnement Intérieur (CEI) au domicile des patients asthmatiques) a permis de voir si l’intervention d’un CMEI était coût-efficace et si cela et si permettait une réduction des symptômes des patients suivis. Les premiers résultats de cette étude sont très encourageants.

Récemment, une Député, Madame Agnès Firmin Le Bodo a déposé un projet de loi pour l’amélioration de la prise en charge de l’asthme où le remboursement des visites est proposé et le développement de postes et la pérennisation de ceux qui existent. Ce nouveau métier permet une prise en charge validée et logique des maladies respiratoires et allergiques liées à la pollution de l’environnement intérieur.  De plus, 1/3 de la population naît après 1980 est cliniquement allergique, ce nouveau métier sera appelé à se développer.

(1) D.M. Brandt, L. Levin, E. Matsui, W. Phipatanakul, A.M.Smith, J.A.. Bernstein, and American Academy of Allergy, Asthma & Immunology Indoor Allergen Committee.. Allergists’ attitudes toward environmental control: Insights into its current application in clinical practice. J. Allergy Clin Immunol.  2008 ; 121(4): 1053-1054.

(2)  F. de Blay, G. Fourgaut, G. Hedelin, D. Vervloet, F.-B. Michel, P. Godard, D. Charpin, G. Pauli, and the Scientific Committee of the MIEC study.   Medical Indoor Environment Counselor (MIEC): role in compliance with advice on mite allergen avoidance and on mite allergen exposure. Allergy 2003 ; 58: 27 33.

(3)  W.J. Morgan, E.F. Crain, R.S. Gruchalla, G.T. O’Connor, M. Kattan, R. Evans, J. Stout, G. Malindzak, E. Smartt, M. Plaut, M. Walter, B. Vaughn,

H. Mitchelle. Results of a home-based environmental intervention among urban children with asthma.New Engl J Med 2004; 351:1068-80.

(4)  J. Krieger, T.K. Takaro, C. Allen, L. Song, M. Weaver, S. Chai, P. Dickey .The Seattle-King Country Home Project: Implementation of a Comprehensive Approach to Improving Indoor Environmental Quality for Low-Income Children with Asthma. Environ Health Perspect 2002 ; 110: 311-322.

(5) C. Speyer-Olette.  Conseillère Médicale en Environnement Intérieur, Bilan et suivi de cinq années d’exercice. Rev Fr Allergol 2009; 49:  577-581.

(6)  K.Sedkaoui-Aumerzouk, A. Didier. Enquête environnementale domestique Rev Fr Allergol 2004 ;44: 363.

Mme Martine OTT, Conseillère Médicale en Environnement Intérieur, Hôpitaux Universitaires de Strasbourg.

M. Frédéric de BLAY, Professeur à la Faculté de Médecine, Praticien hospitalier, Unité de Pneumologie, d’Allergologie et de pathologie respiratoire de l’environnement, Pôle de Pathologie Thoracique, Nouvel Hôpital Civil.