Séverine Ott, stagiaire du Diplôme d’Université Hypnose et prise en charge de la douleur
Pourquoi avez-vous choisi cette formation ? Pourquoi à l’université de Strasbourg ?
J’ai choisi ce diplôme car, au début de ma carrière, j’ai travaillé en oncologie et au service de la douleur à Strasbourg où j’avais également suivi plusieurs formations à l’Université Louis Pasteur sur des thématiques complexes, comme l’éthique et les prises de décisions en soins palliatifs. J’avais particulièrement apprécié la qualité des intervenants.
J’ai regretté de ne pas avoir pu suivre la formation en hypnose qu’on m’avait proposée à l’époque, car j’ai dû déménager pour travailler plus au nord de l’Alsace.
Comment avez-vous financé cette formation ?
J’ai utilisé ma prime COVID pour financer moi-même l’inscription au Diplôme d’Université Hypnose et prise en charge de la douleur, après que mon employeur ait refusé de la prendre en charge.
Que vous a-t-elle apporté ?
La formation a abordé des thèmes importants sur la notion de temps, de rythme, d’action, de respect et de lieu qui donne beaucoup de sens à mon investissement professionnelle.
Pour l’instant, je n’ai toujours pas de lieu pour pratiquer l’hypnose, mais je ne me décourage pas et tranquillement je saurai saisir l’opportunité de l’utiliser dès que l’occasion se présentera.
Qu’avez-vous le plus apprécié ?
La formation est riche par la diversité des intervenants et les travaux en groupe. L’ambiance y est agréable, conviviale et naturelle, ce qui permet d’aborder des thèmes clés, utiles dans tous les services où l’on peut être amené à travailler, tout en respectant les pratiques et l’expérience de chacun.
Un conseil à donner aux futurs stagiaires ?
Ce que je voudrais dire au futur candidat : notre force de soignant est d’innover nos pratiques pour mieux soigner. « Oser mais Doser « ( Patrick BELLET).